Vous avez déjà envoyé un super visuel à l’imprimeur… et le résultat ressemble à un poster Minecraft ? 🧱
Pas très fun quand on vient de payer pour un 120×180 cm.
Beaucoup de gens tapent “quelle résolution pour impression grand format” au dernier moment, quand le fichier est déjà prêt. Et c’est souvent trop tard. L’image est trop petite, le fichier est en 72 DPI, on voit les pixels, l’imprimeur soupire… et vous perdez du temps, de l’argent, et un peu de patience.
On va éviter ça.
Dans ce guide, on va voir exactement :
- quelle résolution pour impression grand format choisir selon le format et la distance de vue,
- comment calculer les pixels nécessaires sans mal de tête,
- comment rattraper un fichier trop petit grâce à l’IA (oui, Pixelfox AI est là pour ça 😏),
- les erreurs qui flinguent vos impressions, et comment les éviter,
- quelques astuces avancées pour les pros qui veulent des grands formats clean pour expo, salon, ou campagne pub.
Et on va le faire en français normal, sans charabia de prépresse.
1. Pourquoi la résolution est un vrai sujet en grand format
Sur un écran, presque tout a l’air correct. L’écran compresse, l’œil pardonne, et on regarde de près mais sur 13 ou 15 pouces.
En impression grand format, c’est la jungle.
- On imprime en mètres, pas en centimètres.
- On voit la matière, le grain, les défauts.
- La distance de vision change tout.
Un fichier qui passe crème pour un post Instagram peut être une catastrophe totale sur une bâche de 2×3 m. C’est pour ça que la question “quelle résolution pour impression grand format” n’a pas une seule réponse, mais plusieurs scénarios.
Et les imprimeurs le disent depuis des années. Les standards de l’industrie (Adobe, Fogra, les labos photo) tournent autour de 300 DPI pour une impression photo vue de près. Quand on s’éloigne du support, on peut descendre à 150, 100, voire 72 DPI pour du très grand format extérieur.
Le problème, c’est que peu de gens adaptent leur fichier. Ils envoient “ce qu’ils ont”.
Là où ça devient intéressant en 2025, c’est qu’on a maintenant des outils d’IA d’upscaling comme ceux de Pixelfox AI qui peuvent sauver un fichier trop léger, sans le flou dégueu classique des agrandissements à l’ancienne.
2. Résolution, DPI, PPI : on clarifie tout sans jargon
On ne peut pas parler de résolution pour impression si on ne s’accorde pas sur quelques mots de base.
DPI, PPI, pixels… on parle de quoi au juste ?
- Pixel : le petit carré de couleur qui compose votre image.
- PPI (pixels per inch) : nombre de pixels par pouce dans le fichier.
- DPI (dots per inch) : nombre de points par pouce que l’imprimante dépose sur le papier.
Dans la vraie vie, tout le monde mélange DPI et PPI. Même les imprimeurs.
Pour simplifier, quand on parle de “image en 300 DPI”, on parle en gros de densité de pixels pour l’impression. On ne va pas faire la police du vocabulaire ici.
Ce qui vous intéresse vraiment, c’est :
Nombre de pixels (largeur × hauteur) + format d’impression (en cm ou en cm) + DPI = qualité finale
Pourquoi 72 DPI s’affiche partout… et pourquoi c’est trompeur
Beaucoup d’images récupérées sur le web sont “en 72 DPI”.
En réalité, le 72 DPI ne veut rien dire sans la taille en pixels.
Exemple simple :
- Image A : 800 × 600 pixels à 72 DPI
- Image B : 8000 × 6000 pixels à 72 DPI
Les deux ont “72 DPI”, mais la deuxième peut être imprimée en grand format sans problème. La première, pas du tout.
La seule chose qui compte vraiment au départ, c’est la taille en pixels.
Résolution photo pour impression : les repères de base
Pour une photo ou un visuel imprimé, voici des repères simples :
- 300 DPI : qualité haute, vue de près (livres, tirages FineArt, posters qu’on regarde à 30–50 cm).
- 200–240 DPI : très correct pour des affiches vues à 1 m ou plus.
- 150 DPI : acceptable pour de l’affichage grand format type 1×2 m vu à plusieurs mètres.
- 72–100 DPI : suffisant pour des bâches ou panneaux géants regardés à 5–10 m (type façade d’immeuble).
Et oui, certains imprimeurs demandent encore 600 DPI pour certaines impressions couleur très fines ou des petits textes (surtout en noir). Ça ne veut pas dire que toute votre image doit être pensée à 600 DPI. C’est souvent un choix technique pour leurs machines.
3. Quelle résolution pour impression grand format choisir en vrai ?
On arrive au cœur du sujet.
Vous avez un format en tête, ou un projet précis. Vous voulez savoir quelle résolution pour impression grand format vous devez viser en pixels.
Le secret, c’est le combo :
Dimensions finales + distance de vision + type de visuel
Règle simple par distance de vision
- Distance de vision 20–50 cm (livre, photo d’expo, poster dans un bureau)
→ visez 300 DPI si possible. - Distance de vision 50 cm – 1,5 m (affiche en boutique, kakemono, panneau PLV)
→ 200–240 DPI suffisent très bien. - Distance de vision > 2 m (affiche 4×3, bannière salon, fond de scène)
→ 100–150 DPI sont souvent amplement suffisants. - Distance de vision > 5 m (bâche géante, building wrap)
→ 72–100 DPI peuvent déjà donner un rendu propre.
Tableau pratique : quelques formats courants
On part sur des formats en centimètres.
Pour convertir en pixels, on a une formule un peu plus bas, mais voici quelques valeurs déjà prêtes.
| Format d’impression | Distance de vision | Résolution recommandée (DPI) | Pixels minimum (approx.) |
|---|---|---|---|
| 30 × 40 cm (poster bureau) | 30–50 cm | 300 DPI | 3543 × 4724 px |
| 50 × 70 cm (photo expo) | 50 cm | 240–300 DPI | 4724 × 6614 px |
| 60 × 90 cm (affiche) | 1 m | 200–240 DPI | 4724 × 7087 px |
| 100 × 150 cm (kakemono) | 2 m | 150–200 DPI | 5906 × 8858 px |
| 100 × 200 cm (roll-up) | 2–3 m | 150 DPI | 5906 × 11811 px |
| 200 × 300 cm (bâche salon) | 3–5 m | 100–150 DPI | 7874 × 11811 px |
| 300 × 400 cm (panneau extérieur) | > 5 m | 72–100 DPI | 8504 × 11339 px |
Ce ne sont pas des chiffres magiques. Ce sont des ordres de grandeur qui collent bien aux pratiques des imprimeurs.
Tip
Quand vous hésitez entre deux résolutions, regardez le budget et la distance réelle de vision. Si personne ne se colle à 20 cm de votre bâche de 4 mètres, inutile de se battre pour 300 DPI. Vous perdez du temps, du poids de fichier, et parfois de l’argent.
4. Comment calculer la bonne résolution pour impression (sans calculatrice scientifique)
On va garder ça simple.
Pour passer de cm + DPI → pixels, on utilise toujours la même formule :
Pixels = (taille en cm ÷ 2,54) × DPI
Exemple :
Vous voulez imprimer en 60 × 90 cm en 240 DPI.
- 60 cm ÷ 2,54 ≈ 23,6 pouces
- 90 cm ÷ 2,54 ≈ 35,4 pouces
Donc :
- Largeur = 23,6 × 240 ≈ 5669 px
- Hauteur = 35,4 × 240 ≈ 8504 px
Vous visez donc un fichier autour de 5669 × 8504 px.
L’autre sens : combien puis-je imprimer avec mon fichier ?
Vous avez, par exemple, une image de 4000 × 3000 px.
Vous voulez une bonne résolution photo pour impression, disons 300 DPI.
Largeur :
- 4000 px ÷ 300 DPI = 13,33 pouces ≈ 33,9 cm
Hauteur :
- 3000 px ÷ 300 DPI = 10 pouces ≈ 25,4 cm
Donc en 300 DPI, votre image sort propre en gros A4/A3-.
Si vous descendez à 200 DPI, vous pouvez monter un peu plus en taille.
Comment régler ça dans Photoshop, GIMP ou Canva
Dans Photoshop :
- Ouvrez l’image.
- Allez dans Image > Taille de l’image.
- Cochez ou décochez Rééchantillonnage selon ce que vous voulez :
- décoché = vous changez les DPI sans inventer de pixels,
- coché = Photoshop crée des pixels pour agrandir (ça peut flouter).
- Mettez la largeur/hauteur en cm, le DPI souhaité.
- Vérifiez le nombre de pixels affiché.
Dans GIMP :
- Image > Échelle et taille de l’image.
- Changez la résolution en “pixels/inch”.
- Ajustez la taille en mm ou cm, vérifiez les pixels.
Dans Canva (moins précis, mais pratique pour les débutants) :
- Canva gère surtout les pixels, pas le DPI.
- Quand vous créez un document, définissez la largeur/hauteur en px directement selon vos calculs.
- Pour un 50 × 70 cm en 240 DPI, on a vu : 4724 × 6614 px.
- Entrez ces valeurs au moment de créer le design.
Tip
Avant d’envoyer à l’imprimeur, faites toujours un mini-test : zoomez votre image à 100 % sur écran. Si à ce niveau-là le fichier est déjà mou, l’impression n’améliorera rien. Dans ce cas, on passe à la case upscaling IA.
5. Quand votre fichier est trop petit : IA à la rescousse (Pixelfox AI)
On arrive à la partie que les designers adorent et que les puristes de la photo fine-art critiquent… jusqu’au jour où ils doivent sauver un fichier client 😅
Vous avez une photo trop petite. Vous devez quand même sortir une affiche 70 × 100 cm.
Deux choix :
- l’agrandir “à l’ancienne” dans Photoshop,
- ou utiliser un upscaler IA moderne, type Pixelfox AI, qui recrée les détails au lieu de juste étirer les pixels.
Upscaler IA vs agrandissement classique
Un agrandissement classique va :
- dupliquer les pixels,
- lisser les transitions,
- souvent créer un rendu mou, un peu plastique.
Un upscaler IA comme Pixelfox AI Image Upscaler (alimenté par des modèles type GAN selon leur documentation) va :
- analyser les textures, les bords, les détails,
- deviner les détails manquants de façon intelligente,
- produire une image plus grande et plus nette, surtout pour les visages, les cheveux, les matières.
Selon les approches décrites par des acteurs comme Topaz Labs ou Adobe, ce type d’IA peut monter à x2, x4, voire plus, avec un niveau de détail très difficile à atteindre en interpolation simple. Pixelfox AI s’inscrit clairement dans cette nouvelle génération d’outils.
![]()
Exemple de workflow avec Pixelfox AI
Scénario classique :
Vous avez une photo de 3000 × 2000 px. Vous voulez un tirage de 60 × 40 cm en 300 DPI.
- 60 cm à 300 DPI ≈ 7087 px
- 40 cm à 300 DPI ≈ 4724 px
Votre fichier est trop juste, surtout en largeur.
Avec Pixelfox AI :
- Vous agrandissez l’image par x2 avec l’upscaler IA.
- Vous obtenez quelque chose comme 6000 × 4000 px.
- Vous recadrez légèrement, réglez à 60 × 40 cm en 250–300 DPI.
- Résultat : un tirage nettement plus propre qu’un simple agrandissement Photoshop.
Vous pouvez aussi combiner ça avec des outils type “deblurring” ou “denoiser” pour nettoyer un fichier un peu bruité avant impression.
La suite Pixelfox AI propose aussi un Améliorateur vidéo IA qui peut aider si vous bossez avec des captures de vidéo, par exemple via PixelFox AI Video Enhancer.
Comparaison avec Photoshop (méthode traditionnelle)
Photoshop reste très bon, surtout avec les options modernes type “Super Résolution” d’Adobe Camera Raw.
Mais :
- l’interface peut être lourde pour les non-designers,
- les réglages sont nombreux,
- on peut rapidement créer des artefacts si on pousse trop.
Pixelfox AI, lui, mise sur un workflow plus simple :
- upload,
- choix du facteur d’agrandissement,
- l’IA fait le gros du boulot.
Pour un graphiste expérimenté, Photoshop + un bon œil restent une arme de choix.
Pour un photographe débordé, une PME, un community manager qui doit sortir un 80 × 120 pour un salon… un outil IA simple comme Pixelfox AI fait gagner des heures.
Comparaison avec d’autres outils en ligne
Il existe plein d’outils d’upscaling en ligne.
La différence se joue sur :
- la qualité des textures (peau, cheveux, texte),
- la gestion du bruit et des bords,
- la confidentialité des fichiers.
Pixelfox AI met en avant un point important :
Les images traitées ne sont pas stockées ni partagées, et les résultats payants sont utilisables en commercial. C’est crucial si vous imprimez pour une marque, un client, ou une expo payante.
6. Gérer le cadrage et le format : l’astuce de l’Image Extender
Un autre problème arrive souvent avec la résolution photo pour impression : le ratio.
Vous avez une image en 3:2.
Votre imprimeur veut un 4:3 ou un 5:7.
Si vous recadrez, vous perdez un sujet, un logo, un élément important.
Plutôt que de massacrer le cadrage, vous pouvez étendre l’image avec de l’IA.
Des outils comme Pixelfox AI Image Extender (accessible via /image/extender/edit) utilisent de l’outpainting : l’IA génère des pixels autour de l’image existante en respectant les textures, les couleurs, la lumière. Vous gardez votre sujet intact, mais le fond s’agrandit pour entrer dans le format d’impression demandé.
C’est parfait pour :
- adapter une image Instagram (carrée) en poster vertical,
- transformer une bannière horizontale web en kakemono,
- créer des fonds propres autour d’un produit e-commerce pour l’impression.
Tip
Si votre imprimeur vous demande “3 mm de fond perdu partout” et que votre visuel est un peu serré, pensez à l’outpainting IA. C’est mille fois mieux que d’étirer le bord avec un transformé “scale” moche.
7. Copyright et grands formats : ne jouez pas avec le feu 🔥
Autre point que beaucoup oublient :
Vous trouvez une belle image sur Google, vous l’agrandissez, vous l’imprimez en grand format… et vous êtes dans le rouge niveau droits.
Pour des affiches décoratives, des visuels en boutique ou des salons, le risque est réel.
Les agences sérieuses passent par des banques d’images ou par des visuels créés maison.
Si vous partez d’une image existante et que vous voulez une version originale, Pixelfox AI propose un outil assez malin : AI Reimagine.
![]()
Cet outil :
- analyse l’image,
- modifie les textures, les couleurs, certains éléments,
- garde la structure générale, mais crée une variantes unique,
- intègre un scanner de risque pour vous signaler les éléments potentiellement problématiques.
Résultat : vous pouvez générer des variations libres de droits d’un concept, puis les préparer pour l’impression grand format.
Pour de la déco de restaurant, d’hôtel, de bureau, c’est super pratique.
8. Cas pratiques : 3 exemples concrets
Cas 1 : Photographe d’expo – tirage 50 × 70 cm
Camille est photographe. Elle veut imprimer une série pour une expo.
Format : 50 × 70 cm, vue de près (20–50 cm). Elle vise 300 DPI.
Calcul rapide :
- 50 cm → ~5906 px
- 70 cm → ~8268 px
Elle vérifie ses fichiers : la plupart sont en 6000 × 4000 px.
Résultat :
- en 50 cm de large, elle est OK,
- en 70 cm de haut, elle doit soit recadrer, soit accepter une légère baisse à 260–280 DPI.
Elle choisit :
- recadrage léger,
- un passage dans Pixelfox AI pour upscaler à x1,2 les fichiers un peu limites,
- un léger nettoyage du bruit.
Les tirages sortent nets, même à 30 cm. Pour ce type de projet, jouer entre 260 et 300 DPI avec un bon fichier de base reste largement suffisant.
Cas 2 : Petite entreprise – roll-up 85 × 200 cm pour un salon
Une PME veut un roll-up 85 × 200 cm pour un salon pro.
Distance de vision : environ 1–2 m.
Objectif réaliste : 150–200 DPI.
Sur la base de 150 DPI :
- 85 cm → ~5020 px
- 200 cm → ~11811 px
Le logo est vectoriel, donc aucun souci.
Le problème : la photo de fond est en 3600 × 2400 px.
La solution :
- Upscaling de la photo en x2 via Pixelfox AI → 7200 × 4800 px.
- Mise en page dans un logiciel (InDesign, Canva pro, peu importe) avec le logo vectoriel + texte.
- Fichier final exporté en PDF haute qualité.
Vu la distance, le résultat est propre, le texte reste net, et la résolution pour impression est cohérente.
Cas 3 : Restaurant – fresque murale 3 × 2 m
Un resto veut une grande fresque photo 3 × 2 m derrière le bar.
Distance de vision : 2–3 m.
On peut viser 100–150 DPI.
À 120 DPI :
- 300 cm → ~14173 px
- 200 cm → ~9449 px
Ça fait beaucoup de pixels.
Le fichier de base est un visuel type banque d’image en 8000 × 5000 px.
Ils décident :
- de viser 100 DPI au lieu de 120, ce qui donne ~11811 × 7874 px, plus proche du fichier de base,
- un léger upscaling IA pour combler la différence sans pousser à x2,
- un léger flou gaussien très contrôlé sur certaines zones pour que les défauts éventuels soient moins visibles de près.
Résultat : de loin, c’est magnifique. De près, on ne colle pas son nez au mur, donc tout va bien (。◕‿◕。).
9. Erreurs fréquentes et comment les éviter
1) Croire que “72 DPI” = mauvaise qualité, tout le temps
Ce n’est pas le chiffre DPI qui tue, c’est le nombre de pixels.
Une image géante en 72 DPI avec beaucoup de pixels peut être nickel.
Une petite image en 300 DPI peut être minuscule.
Solution : regardez toujours les pixels avant le DPI.
2) Ignorer la distance de vision
Beaucoup de débutants veulent 300 DPI pour tout.
Pour un panneau vu à 5 m, c’est inutile. Vous allez exploser la taille du fichier pour rien.
Solution : adaptez la résolution pour impression à la distance : 300 DPI de près, 150–200 à 1–2 m, 72–100 au-delà de 5 m.
3) Recadrer comme un bourrin pour entrer dans un format
Vous perdez des éléments clés, ou vous compressez trop le sujet.
Pour un poster, ça se voit.
Solution : utilisez un outil d’image extender IA (comme /image/extender/edit chez Pixelfox AI) pour ajouter du décor au lieu de couper le contenu important.
4) Envoyer du RGB quand l’imprimeur attend du CMJN… sans vérifier
Ce n’est pas directement un problème de résolution, mais le rendu final peut choquer : couleurs trop saturées, noirs bizarres.
Solution : demandez les specs de l’imprimeur. S’il veut du CMJN, convertissez proprement, faites une épreuve écran ou papier.
5) Agrandir à mort un JPEG déjà compressé
On voit les blocs, le bruit, les artefacts. Et en grand format, ça saute aux yeux.
Solution : passez d’abord par un AI Enhancer (type PixelFox AI Video Enhancer si vos images viennent de vidéos, ou les modules de débruitage et de netteté de la suite Pixelfox AI) avant d’agrandir.
10. Astuces avancées pour ceux qui veulent aller plus loin
Astuce 1 : jouer avec le “fake 300 DPI”
Vous avez un fichier un peu léger.
Vous savez que vous ne pouvez pas atteindre les pixels théoriques pour du 300 DPI.
Ce que font beaucoup de pros :
- ils visent un faux 260–280 DPI,
- ils soignent la netteté créative (sharpening subtil),
- ils choisissent un papier qui pardonne un peu (papier mat ou texturé plutôt que ultra-brillant).
Le ressenti du tirage, surtout en expo, ne tient pas qu’au chiffre DPI.
Il dépend de la matière, du contraste, de la lumière d’expo.
Astuce 2 : préparer des séries multi-formats dès le départ
Si vous travaillez pour une marque, un e-commerce, une chaîne de restos… vous savez que le même visuel va finir :
- en post social,
- en affichage vitrine,
- en flyer,
- en bannière salon.
L’idée intelligente :
- créer un master très haute résolution,
- garder une version “safe print” avec assez de pixels pour du 50 × 70 ou du 70 × 100,
- ensuite décliner vers le bas.
Quand vous manquez de marge sur les côtés, un outil comme AI Reimagine ou l’Image Extender de Pixelfox AI peut vous aider à créer des versions adaptées à chaque format, sans refaire le shooting ou la création complète.
![]()
Astuce 3 : utiliser l’IA aussi pour homogénéiser une série
Pour une expo ou une campagne print, on veut souvent une cohérence :
- même type de contrastes,
- même rendu de peau,
- même palette colorée.
Avec des outils comme Pixelfox AI Reimagine, vous pouvez générer des variations d’un même style, ou harmoniser des images issues de sources différentes, puis les préparer toutes avec la même résolution photo pour impression.
Ça donne un rendu beaucoup plus pro sur un mur entier de tirages.
11. FAQ – Résolution et impression grand format
1. Comment savoir si mon image est assez grande pour un tirage grand format ?
Regardez la taille en pixels.
Appliquez la formule :
taille en cm = (pixels ÷ DPI) × 2,54.
Comparez au format final.
Si vous êtes loin du compte, passez par un upscaling IA pour gagner des pixels.
2. Pourquoi mon image “72 DPI” sort bien en impression parfois ?
Parce que le chiffre “72 DPI” dans les métadonnées n’est pas important en soi.
Ce qui compte, c’est la combinaison pixels + format.
Une image énorme en pixels peut être marquée 72 DPI mais rester parfaite en impression grand format.
3. Est-ce que je peux imprimer une photo de smartphone en grand format ?
Oui, mais pas n’importe comment.
Les smartphones récents sortent souvent des fichiers 4000 px ou plus en largeur.
Pour un 50 × 70 cm vu à 1 m, avec un bon upscaling IA et une bonne prise de vue de départ, c’est souvent OK.
Pour du 1 × 2 m vu de près, ça devient plus limite.
4. Quelle est la différence entre résolution pour impression et résolution écran ?
L’écran affiche en pixels, souvent autour de 100–150 PPI (moyenne).
L’impression travaille en DPI, et quand on imprime, on “étale” la même quantité de pixels sur une surface physique.
Une image correcte à l’écran peut se révéler trop petite pour un grand format, tout simplement parce que le papier ne “triche” pas comme l’écran.
5. Est-ce que l’IA abîme la qualité de mes photos ?
Comme tout outil, ça dépend comment on l’utilise.
Un upscaler IA bien entraîné, comme ceux de Pixelfox AI, peut améliorer la netteté perçue et sauver des fichiers limites.
Si on pousse trop fort, on peut créer un rendu un peu artificiel. L’idée est de rester raisonnable (x2, parfois x4) et de vérifier à 100 % sur écran.
12. Passer de l’écran à l’impression sans stress 😌
On peut résumer tout ça ainsi :
- La vraie question n’est pas juste “quelle résolution pour impression grand format”, mais pour quel usage, vu à quelle distance, avec combien de pixels au départ.
- 300 DPI, c’est le standard pour du proche, mais pour un grand format vu à plusieurs mètres, 100–150 DPI suffisent souvent.
- Il ne faut pas paniquer si le fichier n’est pas parfait : avec les bons calculs + un bon upscaling IA + un peu de bon sens, on peut sortir des grands formats très propres.
- Des outils comme Pixelfox AI (upscaler, enhancer, Image Extender, AI Reimagine, etc.) rendent tout ça beaucoup plus accessible que les pipelines 100 % Photoshop d’avant.
Si vous préparez un poster, une expo, une bâche ou une déco murale et que vous vous demandez encore “quelle résolution pour impression grand format choisir”, le meilleur réflexe est simple :
- calculez vos pixels nécessaires,
- vérifiez vos fichiers,
- laissez l’IA de Pixelfox AI vous aider à combler les trous et à sécuriser vos visuels.
Vous pouvez tester dès maintenant les outils Pixelfox AI, adapter vos images à l’impression, créer des variantes propres et prêtes à imprimer… et arrêter de prier pour que ça sorte bien une fois sur le papier 🖨️🚀